• Alain Juppé prépare l'avenir en créant

    un groupe de réflexion après les municipales

    Le Monde.fr | <time datetime="2013-09-18T18:31:56+02:00" itemprop="datePublished">18.09.2013 à 18h31</time> • Mis à jour le <time datetime="2013-09-18T18:32:07+02:00" itemprop="dateModified">18.09.2013 à 18h32</time>

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    Alain Juppé.

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    Alain Juppé voit plus loin que 2014. Le maire de Bordeaux, candidat à sa réélection, affirme, dans "Questions d'info", l'émission de LCP en partenariat avec Le Monde, France Info et l'AFP, qu'après l'élection municipale, il passera "à autre chose". Il créera "un groupe de réflexion" dont l'objectif sera d'"approfondir un certain nombre de questions fondamentales pour l'avenir de notre pays".

    L'ancien premier ministre affirmait jusque-là avoir pour seul objectif sa réélection à la mairie de Bordeaux. Mais depuis début septembre, il se positionne sur des sujets nationaux et internationaux – sur la Syrie ou sur les déclarations de François Fillon – sans hésiter à marquer sa différence au sein de l'UMP.

    Lirenotre analyse : Alain Juppé ne désespère pas de se voir offrir un destin présidentiel (zone abonnés)

    A travers la constitution de son groupe de réflexion, qui planchera sur la construction européenne, la sécurité et la maîtrise des déficits publics, Alain Juppé montre qu'il travaille sur les grands dossiers auxquels est confronté le pays et que son destin national n'est pas révolu. Il refuse toujours néanmoins de dire s'il se présentera ou non à la primaire de 2016, qui doit désigner le candidat de l'UMP pour l'élection présidentielle.


    Questions d’info : Alain Juppé, ancien Premier... par LCP


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  • Sondage : 72% des sympathisants UMP

    favorables

    à la normalisation du FN

    D.M. | Publié le 13.09.2013, 22h53 | Mise à jour : 23h00   lien

    La présidente du FN Marine Le Pen.

    La présidente du FN Marine Le Pen. | Kirill Kudryavtsev

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    Selon un sondage BVA pour i>télé, réalisée les 12 et 13 septembre, 70 % des sympathisants sont pour une normalisation du parti de . Ils approuvent à 72 % les propos de François Fillon, qui en cas de duel PS-FN aux municipales avait, dimanche, conseillé de voter « pour le moins sectaire ». Ce nouveau positionnement de Fillon est désapprouvé par une courte majorité des Français (51 %) et par les électeurs de gauche (81 %). Mais l’ex-Premier ministre doit s’adresser à son camp s’il veut gagner la primaire de l’UMP en 2016. Il a donc réussi son coup.

    LeParisien.fr


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  • Accueil > Politique > Quand Marine Le Pen versait 5.000 euros par mois à son compagnon Louis Aliot

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    Quand Marine Le Pen versait 5.000 euros

    par mois à son compagnon Louis Aliot

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    <time datetime="2013-07-18T11:46:37" itemprop="dateCreated">Créé le 18-07-2013 à 11h46</time> - <time datetime="2013-07-18T12:07:11" itemprop="dateModified">Mis à jour à 12h07</time>

    La présidente du FN a fait l'objet d'une enquête du Parlement européen.

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    Steeve Briois, Florian Philippot, Marine Le Pen et Louis Aliot présentent une partie de leur équipe de campagne. (CHAMUSSY/SIPA)

    Steeve Briois, Florian Philippot, Marine Le Pen et Louis Aliot présentent une partie de leur équipe de campagne. (CHAMUSSY/SIPA)

    Le site Mediapart révèle que Marine Le Pen a salarié pendant deux ans Louis Aliot, son compagnon et numéro deux du parti, comme assistant au Parlement européen. Il était rémunéré à hauteur de 5006,95 euros brut mensuels pour un temps partiel de 17,5 heures par semaine.

    Le Parlement européen a demandé dans un courrier daté du 25 juillet 2012 des explications sur ce contrat, révèle Mediapart. En effet, selon l’article 43 du règlement du Parlement, l’enveloppe financière dont dispose chaque parlementaire ne peut pas "financer les contrats permettant l’emploi ou l’utilisation des services des conjoints des députés ou de leurs partenaires stables non matrimoniaux".

    "Pas concerné par le texte"

    Pour leur défense, les deux intéressés ont joué sur le caractère juridiquement informel de leur relation. Louis Aliot et Marine Le Pen ne sont effectivement ni mariés, ni pacsés, "ni liés par un quelconque statut reconnu par l’Etat français". En revanche, ils forment bel et bien un couple, et sont financièrement liés au sein d’une société civile immobilière (SCI) qui leur a permis d’acheter une maison à Millas (Pyrénées-Orientales). Contacté par Mediapart, Louis Aliot indique que la SCI "est connue par le Parlement européen".

    Mediapart revient aussi sur le salaire versé au bras droit de Marine Le Pen, Florian Philippot. Jusqu’au 30 juin 2012, ce-dernier était également assistant parlementaire de Marine Le Pen. Mais il était aussi son directeur de campagne lors de la campagne présidentielle. Or, l’article 62 du règlement du Parlement pose que les fonds pour rémunérer les assistants "sont exclusivement réservés au financement d’activités liées à l’exercice du mandat des députés et ne peuvent couvrir des frais personnels". Ce qui ne semble pas avoir été pratiqué pendant deux ans.

    Interrogé par les services financiers du Parlement européen dans un courrier de juillet 2012, Marine Le Pen a expliqué que "la durée horaire modeste de leurs contrats d’assistance parlementaire [permettait] de concilier deux activités professionnelles".

    Selon Mediapart, ces services financiers ont également voulu se pencher sur le détail des agendas de Florian Philippot et de Louis Aliot pendant la campagne présidentielle. Mais pour l’instant, ils ont choisi de classer l’affaire.

    A la suite de cet article, Louis Aliot a annoncé sur Twitter son intention de porter plainte contre le journal en ligne pour diffamation.

    M.-L. - Le Nouvel Observateur


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  • Accueil > Politique > Chez Fillon, le show de Sarkozy n'a pas fait que des heureux

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    Chez Fillon, le show de Sarkozy

    n'a pas fait que des heureux

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    <time datetime="2013-07-09T19:04:15" itemprop="dateCreated">Créé le 09-07-2013 à 19h04</time> - <time datetime="2013-07-09T20:36:53" itemprop="dateModified">Mis à jour à 20h36</time>

    Les soutiens de François Fillon regrettent que l'ancien président ait davantage parlé politique que de la dette de l'UMP.

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    François Fillon quittant le siège de l'UMP après le bureau extraordinaire AFP

    François Fillon quittant le siège de l'UMP après le bureau extraordinaire AFP

    <aside class="obs-article-brelated" style="margin-left:20px;"> <header class="obs-blocktitle">Sur le même sujet</header>

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    Une forme "d'élégance", assure un de ses proches. Si François Fillon, lundi, est arrivé au siège de l'UMP sans s'arrêter pour répondre aux journalistes, et s'il a quitté les lieux après l'intervention de Nicolas Sarkozy sans dire un mot, c'est parce qu'il est poli, tente de convaincre cet ami de l'ancien Premier ministre. Avant de reconnaître finalement que "ce n'était pas son moment". C'est le moins que l'on puisse dire. Si François Fillon n'est pas la seule victime collatérale du show sarkozyste de lundi, il est quand même en tête de la liste de ceux qui ont dû 48 heures durant serrer les dents.

    Une intervention "surmédiatisée"

    Ce mardi matin, son fidèle lieutenant, Eric Ciotti, s'est chargé de faire passer le message : "Rien n'entravera la détermination de François Fillon", a insisté le président du conseil général des Alpes-Maritimes sur LCI. Un autre soutien résume : "Il n'y a pas grand-chose qui perturbe la route de François Fillon". Les proches du député de Paris se félicitent même que Nicolas Sarkozy ait repris dans son discours toute la thématique du "progrès", souvent évoquée par François Fillon. Pour eux, c'est le signe que leur champion "n'est pas balayé", au contraire, et que "la compétition a du sens". D'autres encore relativisent la séquence : "Si on commence à se crisper pour ça, on n'a pas fini" ; c'était "un peu surmédiatisé" et le discours tenu "avait déjà été servi à des députés".

    "Personne n'est dupe"

    C'est peu de dire que l'intervention de Nicolas Sarkozy au bureau extraordinaire de l'UMP lundi après-midi n'a pas convaincu les fillonistes. "On attendait des pistes d'économie, des explications", regrette l'un d'entre eux, "déçu" par l'allocution de l'ancien président. Avant de poursuivre : "Nicolas Sarkozy a fait 40 secondes sur la dette et 40 minutes de discours politique", alors que le parti se réunissait après le rejet des comptes de campagne de l'ancien président par le Conseil constitutionnel, contraignant le parti à trouver 11 millions d'euros avant le 31 juillet. Un reproche manifestement partagé par François Fillon, qui a profité mardi matin de la réunion hebdomadaire des cadres du parti pour demander des précisions sur les comptes du parti. Il devrait d'ailleurs rencontrer la trésorière de l'UMP, Catherine Vautrin, dans le courant de la semaine prochaine, rapporte l'"Express".

    Concernant la dimension politique de l'ex-chef de l'Etat, "personne n'est dupe", estime un autre filloniste. "Ce n'est pas encore l'heure de la présidentielle, mais ça y ressemble...", lâchait lundi après-midi l'ancien ministre Pierre Lellouche, rue de Vaugirard, alors que Nicolas Sarkozy, dans son discours, en visant François Fillon, a jugé "indécent de parler de la présidentielle de 2017".

    L'assurance d'une primaire ouverte

    Nicolas Sarkozy devrait maintenant retourner à sa cure de silence relatif, au moins jusqu'au lendemain des élections européennes de 2014. Un laps de temps que François Fillon devrait mettre à profit, lui, pour installer sa candidature. Le député de Paris compte aussi sur la primaire ouverte dont le principe est acté dans les statuts du parti pour faire la différence. Ce n'est pas un hasard si Eric Ciotti a rappelé ce matin que la primaire apporte "la garantie que le candidat qui est choisi, que nous soutiendrons, sera le plus en adéquation possible avec tous les électeurs français". "Tout va se jouer devant les électeurs et pas devant les militants", a-t-il insisté. D'autres amis de l'ancien Premier ministre se sont plus depuis dimanche à relayer le sondage du "JDD" selon lequel 60% des Français ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se représente. La bataille reste larvée, mais elle a commencé.


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  • UMP : 600 000 euros de dons déjà récoltés

    C.M. | Publié le 05.07.2013, 16h52 | Mise à jour : 23h50

    «Votre don est vital, l'UMP a besoin de vous !» peut-on lire sur le site internet du parti où les sympathisants peuvent faire un don pour aider l'UMP à renflouer ses caisses.

    «Votre don est vital, l'UMP a besoin de vous !» peut-on lire sur le site internet du parti où les sympathisants peuvent faire un don pour aider l'UMP à renflouer ses caisses. | (AFP/MIGUEL MEDINA.)

    30, 60, 80, 120 euros ou «au choix»... L'appel aux dons lancé jeudi par Jean-François Copé après la confirmation par le Conseil constitutionnel du rejet du compte de la campagne présidentielle 2012 de n'est pas resté lettre morte.

    Ce vendredi à minuit, le montant des dons encaissés s'élevait à près de 600 000 euros d'après Catherine Vautrin la trésorière de l'. Une somme qui a preque quadruplée dans la journée. En effet, vendredi matin, à 8h30, l'UMP avait récolté 170 000 euros, affirme-t-on rue de Vaugirard. «Des personnes viennent même spontanément pour déposer des chèques», se félicite-t-on. Pourtant, on reste encore bien loin du compte...

    Plus de dix millions d'euros de frais non remboursés à l'UMP
     


    En effet, le rejet du Conseil constitutionnel de rembourser le compte de la campagne présidentielle 2012 de l'ancien , prive l'ex-candidat UMP du remboursement par l'Etat de quelque dix millions d'euros de frais de campagne. 10 691 764 euros très exactement pour les candidats arrivés au second tour.

    Le Conseil a même précisé que l'ex-candidat UMP devra «restituer au Trésor public l'avance forfaitaire qui lui a été versée», soit 150 000 euros, ainsi que «le montant arrêté à 363 615 euros par la commission» des comptes de campagne correspondant au «dépassement du plafond» des dépenses. 

    L'UMP réunit lundi prochain à 17 heures au siège, rue de Vaugirard son bureau politique (direction) pour discuter de la très contestée décision du Conseil constitutionnel qui n'arrange pas les finances du parti. Tous les parlementaires UMP y sont conviés. Cette réunion extraordinaire marque aussi le retour en politique de Nicolas Sarkozy, qui y participera.

    VIDEO. Comptes de campagne: vers un retour de Sarkozy ?

     
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    VIDEO. Comptes de campagne UMP: «un impact considérable» selon Goujon

     
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    LeParisien.fr


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