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Par marialis2.2 le 18 Février 2013 à 22:52
Christian Chevalier, écrit un solennel message militant à Copé. Et expose avec ses fidèles salutations gaullistes, son analyse de la crise qui secoue actuellement la majorité UMP Avignonnaise.
"Après avoir subi le conflit national interne que vous savez, nous voilà outre la vendetta récurrente Roig-Dufaut qui dure depuis des années à Avignon, en butte à un conflit d'importance entre les principaux adjoints et le maire, qui veut imposer un candidat "parachuté" en la personne sûrement estimable, mais inconnue ici de Monsieur Bernard Chaussegros, lequel d'après la presse, découvre la politique par une formation accélérée, prodiguée par le staff du maire Marie-Josée Roig, qui se représente pour un quatrième mandat mais cette fois, comme deuxième de liste.
Un électorat Colmtadin particulièrement ombrageux
Bon nombre de nos élus locaux, militants et sympathisants ont bondit à cette nouvelle depuis plusieurs semaines ; le sort électoral de cet inconnu sera comme d'autres célèbres intrus (ex Mme Guigou) battu à plate couture par un électorat "Comtadin" particulièrement ombrageux.
De la colère à la révolte
Je vous écris, car le mécontentement est passé de la colère à la crise, puis à la révolte de neuf importants adjoints délégataires qui sont sur la route de la sécession, pour construire une liste dissidente, qui aura toutes les chances, vu les données politiques d'ici en pleine évolution d'être au score, devant celle du maire et du parachuté si rien n'est arrêté.
Tête de liste rebelle
Je suis persuadé que massivement les gens voteront pour la tête de liste rebelle, Monsieur Frédéric Rogier, Avignonnais honorablement connu, brillant adjoint aux finances, accompagné avec force par son alter ego, Monsieur Michel Bissiere, adjoint à la culture solidement implanté politiquemet ; de plus, statutairement rien de moins que le délégué UMP élu de notre première circonscription de Vaucluse, tous deux flanqués d'importants élus tels que Monsieur Philippe Brunet-Debaines (grande famille Avignonnaise,) Thomas Redondo, et j'en passe.
Shisme annoncé
Ce shisme annoncé, va parfaire la division de l'UMP locale existante et entretenue par la mésentente personnelle et publique qui dure depuis des années, entre le sénateur Alain Dufaut et le maire Marie-Josée Roig ! Dont vous êtes parfaitement informé alors qu'avec le ticket Rogier-Bissiere, c'était l'occasion rêvée de réunir la famille militante et ainsi retrouver l'énergie à plein régime de l'appareil militant affaiblie.
Pas de crise politique irréversible
Pour votre gouverne je puis vous certifier qu'il n'existe pas de clan Rogier-Bissiere contre le tandem Roig-Chaussegros en gestation et que personne jusqu'à présent n'a créé de crise politique irréversible, notamment par le travail et les votes en conseil, ce stade n'est pas heureusement atteint et le maire a appelé à l'apaisement des humeurs par courrier.
Hypothétique népotisme mondain
Partant de ce qui précède, il ne faut pas être grand vizir pour comprendre l'échec prévisible de la validation d'un candidat parachuté, tête de liste, inconnu et de plus novice en politique ! Les bruits d'antichambre nous rapportent qu'il serait en voie d'adoubement par un hypothétique "népotisme" mondain d'état-major parisien !
Avignon ne mérite pas ça
Cette option stratégiquement erratique du maire local, contre ses adjoints bien implantés localement et donc susceptibles de gagner avec brio, c'est s'exposer à offrir durablement aux gauches la gouvernance d'Avignon. La cité des papes, capitale emblématique du Vaucluse risque de devenir pour les socialistes du cru bien enracinés une plate forme propagandiste d'envergure via la culture, vous pouvez y compter ! Nous risquons de connaître selon votre décision arbitrale, un remake de notre défaite aux dernières législatives. Avignon ne mérite pas ça ! Réfléchissez-y bien.
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Par marialis2.2 le 17 Février 2013 à 17:42
Pour Sarkozy, Hollande est un nul
Créé le 15-02-2013 à 16h03 - Mis à jour le 17-02-2013 à 17h21 lienL'ex-président voit son successeur comme un "accident de l'Histoire". Déjà dans le match retour, il fait dire tout haut à ses proches ce qu'il pense tout bas.
Sur le Mali, Sarkozy "n'a pas supporté de voir Hollande traité comme un vrai président". (Illustration Jean-Marc Pau pourCette fois, le doute n'est plus permis : Nicolas Sarkozy a fait sa rentrée politique. Une rentrée masquée, certes, mais une rentrée offensive. En deux occasions, l'ancien président vient de demander à ses proches de sonner la charge contre François Hollande : à propos de l'intervention française au Mali, d'abord, qui aurait été particulièrement mal préparée ; au moment de la libération de Florence Cassez, ensuite, qui serait entièrement à mettre à son crédit.
Lors de ce dernier épisode, l'équipe Sarkozy a même ressuscité les fameux "éléments de langage" que l'Elysée envoyait avant mai 2012 aux ministres du gouvernement Fillon pour relayer la parole présidentielle. Comme l'a révélé "le Canard enchaîné", et comme "le Nouvel Observateur" est en mesure de le confirmer pour avoir vu sur un écran de portable un SMS envoyé en pleine nuit, plusieurs dignitaires de l'UMP se sont vu prier de clamer haut et fort que "sans l'énorme pression de Sarkozy" "FC serait toujours en prison" ; on serait devant un "cas typique des planqués qui volent au secours de la victoire".
Le Sarko dans le texte
Brice Hortefeux ne cesse de le répéter : il n'est "ni le porte-parole officiel, ni le porte-parole officieux" de Sarkozy. Même antienne du côté de la rue de Miromesnil, où l'ancien président a installé ses bureaux : "Hortefeux parle au nom d'Hortefeux, personne n'est habilité à parler au nom de Sarkozy qui n'intervient pas dans le débat public sous quelque forme que ce soit." Les "éléments de langage" envoyés dans l'affaire Cassez démontrent pourtant le contraire.
L'ancien ministre de l'Intérieur et président de l'Association des Amis de Nicolas Sarkozy a été l'un des destinataires du SMS, et il en a repris de nombreuses formulations, le 27 janvier, sur Europe 1 : preuve qu'il parle le Sarko dans le texte. Au-delà de ces démentis convenus, un dirigeant de l'UMP confie :
Sarkozy a été ulcéré par l'attitude de Hollande : il s'attendait à ce que son successeur l'invite à aller avec lui accueillir Florence Cassez à Roissy. C'est un dossier sur lequel il s'était particulièrement mobilisé, comme la jeune Française l'a rappelé elle-même. Il ena peut- être parfois trop fait, au risque de heurter les autorités mexicaines. Mais Hollande a fait une bêtise en n'ayant pas l'élégance de le citer."
Sur le Mali, Hortefeux a été le premier à briser le consensus national. En privé, Sarkozy est encore plus critique que son féal. "Pour lui, la situation n'est pas celle qui a été décrite par Hollande, glisse un proche. Il n'y a pas d'un côté un régime légitime et, de l'autre, des terroristes islamiques ; mais un président issu d'un coup d'Etat face à des groupes rebelles très implantés dans le nord du pays, parmi lesquels figurent des éléments islamistes : il voit le Mali à la lumière de la Côte d'Ivoire."
Depuis toujours, Sarkozy estime que son successeur n'est pas à la hauteur. "A ses yeux, Hollande a du mal à entrer dans les habits de président", lâche pudiquement Hortefeux. Depuis le premier jour du nouveau quinquennat, Sarkozy juge Hollande mesquin : lors de la passation de pouvoirs, il n'a pas supporté de ne pas être raccompagné jusqu'à sa voiture. Pourquoi montrer les dents maintenant, alors que les sondages lui sont aussi favorables qu'ils sont défavorables à Hollande ?
Là encore, il faut écouter un de ses anciens ministres qu'il reçoit régulièrement rue de Miromesnil.
Depuis sa défaite, Sarkozy est très attentif à la défense de son bilan. On est prié de monter au créneau quand il est contesté. Sur le Mali et l'affaire Cassez, il a manifesté un énervement plus sensible. La raison ? Dans le premier cas, on l'abaissait en mettant au même niveau son action en Libye et ce que fait Hollande au Mali ; dans le second, il y a eu un mensonge par omission : son rôle a été délibérément gommé."
Un deuxième ancien ministre : "L'opération au Mali a été un choc pour lui. Jusque-là, il avait l'impression que beaucoup de gens, y compris à gauche, partageaient son jugement plein de commisération sur Hollande. Et soudain celui-ci s'est vu encensé, y compris par la presse internationale. Il n'a pas supporté de voir Hollande traité comme un vrai président. Dans sa tête, le seul président, c'est lui. Hollande, c'est un accident de l'Histoire qui a été élu à cause de la crise, du bon score de Marine Le Pen et du retrait de DSK."
Un troisième ancien ministre : "Il n'y a pas que le Mali. Entendre Angela Merkel féliciter Hollande à Berlin pour les réformes qu'il mène a été pour lui insupportable. En creux, c'était suggérer que Sarkozy n'avait pas été un vrai réformateur. Petit à petit, son successeur devient un partenaire pour les chefs d'Etat et de gouvernement étrangers : c'est encore plus insupportable."
Comme Napoléon à l'île d'Elbe
D'autant que, pour Sarkozy, Hollande reste un nul. Puisqu'il intervient souvent en service commandé, il faut davantage écouter Hortefeux. L'ancien ministre de l'Intérieur va ainsi répétant que, si l'ancien président se représente en 2017, ce sera par "devoir".
Qu'est-ce à dire ? Sarkozy a mal à la France ! Sans lui, elle partirait à la dérive, s'enfoncerait dans le déclin : voilà le fond de sa pensée. De la rue de Miromesnil, il se sent comme Napoléon à l'île d'Elbe : en exil.
Comme il n'est qu'à une encablure de l'Elysée, Hortefeux, toujours lui, s'est récemment étonné que Hollande ne consulte pas son prédécesseur pour "connaître son appréciation". Pour le coup, Hortefeux assure qu'il s'agit d'une idée personnelle. "Je doute que Sarkozy rêve de prendre un thé avec Hollande", plaisante un de ses conseillers. Mais l'ancien président s'agace bien que son successeur continue de le snober, de faire comme s'il n'existait pas.
Il avait assuré qu'il "couperait avec la politique"
Lors d'un récent concert d'Enrico Macias à l'Olympia, où il a été ovationné par le public, Nicolas Sarkozy est apparu fatigué, épuisé presque. "Il voyage beaucoup pour ses conférences, à sa façon, sans se poser sur place et, quand il est à Paris, il reçoit sans arrêt, du matin au soir", confie un proche. Au début de sa campagne présidentielle, quand il avait assuré qu'il "couperait avec la politique" en cas de défaite, il avait ajouté qu'il "prendrait du bon temps" : "Je peux commencer la semaine un mardi et la finir un jeudi", avait-il lancé.
Il s'est surestimé ! La politique l'accapare toujours autant, "plus que jamais, c'est sa vie", glisse même un proche, et ses semaines sont toujours surchargées. Seul dérivatif, le sport, qu'il pratique à la Sarko, de façon intensive, pas moins d'une heure par jour. "La fatigue accumulée contribue à l'énervement", continue le même proche.
D'autant que son camp se révèle tout compte fait peu réceptif à ses injonctions. Après quelques déclarations discordantes, la droite dans son ensemble est rentrée dans le rang sur le Mali. Le temps des questionnements viendra plus tard. A l'UMP, une seule voix s'est fait entendre la semaine dernière pour critiquer l'opération : celle de Frédéric Lefebvre, l'ancien secrétaire d'Etat au Commerce et à l'Artisanat : "C'est une faute lourde de n'avoir pas su, ou pas pris le temps de multiplier les passerelles diplomatiques", a-t-il écrit dans une tribune publiée par le "Huffington Post" : "La France n'avait pas le droit de mettre en danger tous ses enfants en portant seule le drapeau de la lutte contre la barbarie terroriste."
Match retour
Hortefeux et Lefebvre ! Seuls les grognards du sarkozysme, les collaborateurs de toujours qui l'accompagnaient déjà à Neuilly, relaient la ligne du patron... Si l'ex-président prend ainsi le risque de l'isolement, c'est qu'il est déjà tout entier dans son match retour contre Hollande. En 2016-2017, ce ne sont pas seulement les circonstances, croit-il, qui décideront de la possibilité de son come-back.
Plus que jamais, Sarkozy croit au "volontarisme" : il fera le maximum afin d'être présent au rendez-vous. Pour ce féru de foot, cela passe par un marquage à la culotte de l'actuel locataire de l'Elysée. En permanence, il s'irrite du manque de combativité de l'UMP face au pouvoir socialiste. On peut compter sur lui pour combler ce prétendu vide. Sarkozy n'est lui-même que quand il lâche ses coups.
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Par marialis2.2 le 14 Février 2013 à 19:14
Municipales Paris: Borloo renonce, NKM dans les starting-blocks
MUNICIPALES PARIS - Fin du faux suspense dans la capitale. Jean-Louis Borloo a officiellement renoncé à se présenter aux élections municipales de 2014 à Paris, a-t-il confirmé ce jeudi 14 février depuis son compte Twitter. Le président de l'UDI, qui avait déjà pris ses distances avec l'hypothèse d'une candidature à Paris, réaffirme que sa priorité demeure "la construction" du parti centriste né l'année dernière. Une décision qui ouvre un boulevard à l'UMP Nathalie Kosciusko-Morizet qui devrait du coup officialiser sa candidature dès ce vendredi.
Dans un communiqué publié simultanément, l'UDI confirme que son chef de file ne quittera pas son fief de Valenciennes en 2014: "Jean-Louis Borloo réaffirme sa position: il n'est pas candidat à titre personnel à cette élection et sa tâche prioritaire est et reste la construction de (son) jeune parti".
Le parti centriste n'exclut pas toutefois de présenter des listes autonomes dans la capitale. La vice-présidente de l'UDI et sénatrice de Paris, Chantal Jouanno pourrait alors décider de mener l'offensive les rênes au centre-droit. Mais l'hypothèse d'une primaire ouverte UMP-UDI est d'ores et déjà refermée. "Les négociations sont mortes", a confirmé au HuffPost le député Yves Jégo. Problème de confiance dans le scrutin électronique mis en place par le parti de Jean-François Copé, argumente-t-on du côté des proches de Jean-Louis Borloo.
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Nathalie Kosciusko-Morizet favorite pour mener la batailleLes atermoiements des centristes ne font pas peur à Nathalie Kosciusko-Morizet, qui faisait désormais office de favorite pour porter les couleurs de la droite à Paris en 2014. "Depuis mardi, on savait que l'hypothèse Borloo était morte. Ils vont annoncer des listes UDI partout mais ça n'ira pas ben loin. Chantal Jouanno a d'ailleurs déjà pris contact avec Nathalie", glisse un soutien de l'ancienne porte-parole de Nicolas Sarkozy.
Si elle n'a toujours pas officialisé sa candidature, la députée-maire de Longjumeau est donc plus que jamais dans les starting-blocks et prépare activement son débarquement parisien. Reste à se décider où et quand. Les pistes d'atterrissage les plus évoquées par ses amis? 12e, 13e, ou 14e arrondissement. Qu'importe: l'objectif est de ne pas empiéter sur le territoire "réservé" d'un baron local et de marquer des points dans des arrondissements de reconquête.
LIRE AUSSI: Municipales à Paris: qui a peur de NKM?
"Nathalie ferait très fort dans le 12e. Mais s'il faut lâcher la tête de liste à Jouanno, ce ne sera pas un problème", assure l'entourage de l'ancienne ministre.
Une candidature dès ce week-end?Tout semble donc prêt pour une déclaration de candidature imminente de la députée-maire de Longjumeau. Jusqu'ici, plusieurs facteurs l'incitaient à repousser son entrée dans l'arène parisienne. Il lui faut d'abord organiser sa succession dans son ancien fief de l'Essonne. Puis attendre que François Fillon cède officiellement la main. "Tant que Fillon n'a pas officiellement renoncé, elle ne dira rien. NKM veut faire les choses proprement", assurait encore récemment un de ses conseillers.
Mais le contexte politique a incité la jeune femme à accélérer le rythme, quitte à griller la politesse à François Fillon. Elle devrait finalement annoncer sa candidature dès ce vendredi dans Le Parisien. Les amis de l'ex-premier ministre mais également certains copéistes lui ont déjà bien préparé le terrain. Ce jeudi, 77 responsables UMP, de la capitale ont lancé un appel pour inviter Nathalie Kosciusko-Morizet à se porter candidate aux primaires ouvertes de juin prochain. Parmi eux, les fillonistes Jean-François Lamour, Vincent Roger, Bernard Debré mais également le copéiste Claude Goasguen.
Un pont d'or qui semble ouvrir les portes de la victoire à la primaire avant même que le vote ait lieu. NKM aura-t-elle d'ailleurs des challengers déterminés face à elle? L'entourage de la future candidate pense que Rachida Dati, pourtant officiellement en lice, finira par renoncer d'elle-même. "Nathalie compte sur les primaires pour se placer au-dessus des luttes partisanes et légitimer sa candidature. On préférerait que Dati aille jusqu'au bout pour ne pas se retrouver seuls face à Bournazel", le jeune conseiller du XVIIIe, souffle-t-on dans le camp Kosciusko-Morizet.
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Par marialis2.2 le 13 Février 2013 à 19:18
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</nav> <header class="article_header">PARIS
Prochaine "motion de censure" UMP contre la politique économique du gouvernement
PARIS - Jean-François Copé, président de l'UMP, a annoncé mercredi aux Echos que l'UMP allait déposer "dans les prochaines semaines une motion de censure" contre la politique économique du gouvernement pour "inciter" François Hollande à "changer immédiatement" de cap.
Le président de l'UMP Jean-François Copé à l'Assemblée nationale, le 12 février 2013
afp.com/Jacques Demarthon
Selon M. Copé, si l'objectif des 3% de déficit public en 2013 ne peut être tenu, c'est "en raison des options folles qu'il (le président Hollande) a prises" et cela constitue "le véritable aveu de son échec".
Par
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Par marialis2.2 le 12 Février 2013 à 21:33
Le Point.fr - Publié le <time datetime="2013-02-12T20:43" itemprop="datePublished" pubdate=""> 12/02/2013 à 20:43</time> - Modifié le <time datetime="2013-02-12T21:15" itemprop="dateModified"> 12/02/2013 à 21:15 </time>
lienL'horizon se dégage de plus en plus au centre et à droite, le président de l'UDI renonce à se porter candidat à la mairie de Paris en 2014.
Jean-Louis Borloo, président de l'UDI renonce aux municipales de 2014 © WITT / Sipa
Selon Le Figaro, Jean-Louis Borloo a confié sa décision la semaine dernière à quelques-uns de ses proches: il ne se présentera pas dans la capitale en 2014. Malgré les discours de façade, François Fillon et Jean-François Copé n'auraient pas vu d'un mauvais oeil la candidature de Jean-Louis Borloo le centriste. "Elle aurait eu du sens", rapporte le quotidien, citant un proche du président actuel de l'UMP. Quitte, même, à présenter une liste unie des droites lors de la course à la succession de l'actuel maire socialiste Bertrand Delanoë.
Alors que certains misent sur une candidature commune UMP-UDI, les candidats sérieux se font donc toujours attendre. L'ancien Premier ministre François Fillon doit d'ailleurs annoncer le 25 février prochain sa décision mais les pronostics le donnent non-partants.
NKM n'a pas achevé sa réflexion
Pressentie pour s'implanter dans la capitale, Nathalie Kosciusko-Morizet a indiqué de son côté, mardi, ne pas avoir " achevé sa réflexion". "Ça peut paraître oiseux ou un peu curieux, mais quand on est maire, c'est une relation qui est presque charnelle avec ses administrés, c'est une décision qui n'est pas facile à prendre, dans un sens ou dans l'autre", a-t-elle indiqué sur RTL.
Vote électronique?
Nathalie Kosciusko-Morizet souhaiterait que l'UDI participe aux primaires, ce qui n'est pas l'hypothèse la plus probable. Elle veut aussi que tous les électeurs de la droite et du centre qui le désirent y participent, et réclame enfin un vote électronique pour éviter les contestations. Mais Rachida Dati a déclaré samedi dans Le Figaro que ce type de scrutin ne lui paraissait pas garantir la "transparence" requise.
Une primaire "par vote électronique ultrasécurisé" et "ouverte à tous les Parisiens", c'est pourtant la formule annoncée par le président de la fédération UMP de Paris, Philippe Goujon dimanche dans Le JDD. "Le premier et le second tour devraient se dérouler entre la mi-avril et la mi-mai". Outre la maire du 7e arrondissement, Rachida Dati, la solution retenue ne fait pas l'unanimité et plusieurs candidats déclarés ou potentiels à la primaire ont fait connaître leur opposition.
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Publication: 14/02/2013 17:16 CET | Mis à jour: 14/02/2013 18:57 CET