• Israël: le gouvernement adopte le principe d'un Etat-nation juif
    Par RFI


    <time datetime=">14-11-24"> Publié le 24-11-2014 </time> <time datetime=">14-11-24"></time><time datetime=">14-11-24"> Modifié le 24-11-2014 à 05:19 </time>

    media Le gouvernement de Benyamin Netanyahu a approuvé dimanche 23 octobre un projet de loi qui renforce le caractère juif de l'État d'Israël. REUTERS/Gali Tibbon

    Israël Israël

    Le gouvernement israélien a adopté hier, dimanche, un projet de loi instaurant le statut légal d’Israël comme l’Etat-nation du peuple juif. Une décision qui provoque une profonde division au sein de la coalition et risque de provoquer une grave crise politique.

    Avec notre correspondant à Jérusalem, Michel Paul

    Le but de cette loi : renforcer le caractère juif d’Israël qui serait désormais défini comme l'Etat national du peuple juif. Un texte adopté par le gouvernement à l'issue d'un débat houleux dimanche. Six ministres de l'aile modérée de la coalition se sont opposés à cette loi qui, selon ses détracteurs, institutionnalise les discriminations envers la population arabe du pays.

    Pour plusieurs députés arabes, il s’agit ni plus ni moins que d'inscrire ouvertement dans la législature le racisme qui sévit déjà dans la rue. Ce projet de loi doit encore recevoir l'aval de la Knesset, le Parlement israélien.

    Divisions

    En principe, il devrait être soumis en première lecture mercredi 26 novembre. Deux partis qui siègent au gouvernement ont annoncé qu'ils avaient l'intention de voter contre ce texte qu'ils considèrent comme anti-démocratique et anti-sioniste : le mouvement de la ministre de la Justice, Tzipi Livni, et Yesh Atid, du ministre des Finances Yair Lapid. Tous deux estiment que ce sont les éléments extrémistes au sein du Likoud, le parti de Benyamin Netanyahu, qui ont poussé le Premier ministre israélien à promouvoir cette loi en une période particulièrement sensible.

    Si aucun compromis n'est obtenu d'ici là, Netanyahu pourrait limoger les ministres réfractaires et provoquer une crise politique qui pourrait déboucher sur des élections anticipées.

    Reconnaissance d'un Etat palestinien : « une grave erreur »

    Hier, dimanche, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a affirmé à des journalistes que « la reconnaissance d'un Etat palestinien par la France serait une grave erreur », alors que le Parlement français doit symboliquement se prononcer le 2 décembre sur cette question.


    votre commentaire
  • <header>

    Israël rase le logement d'un Palestinien après un attentat sanglant

    <time>Publié le 19-11-2014 à 07h56Mis à jour le 20-11-2014 à 03h30</time>
    lien 
    </header>

    Une jeune Palestinienne montre le portrait d'Abdelrahman Shalodi, auteur d'une attaque à la voiture bélier en octobre, à l'intérieur de la maison familiale détruite par les autorités israéliennes, le 19 novembre 2014 à Jérusalem-Est(c) Afp
    Une jeune Palestinienne montre le portrait d'Abdelrahman Shalodi, auteur d'une attaque à
    la voiture bélier en octobre, à l'intérieur de la maison familiale détruite par les autorités israéliennes
    , le 19 novembre 2014 à Jérusalem-Est (c) Afp

    <aside></aside> <aside><section>

     

    </section></aside>

    Jérusalem (AFP) - Israël a repris après des années la pratique controversée consistant à détruire les maisons d'auteurs d'attentat à Jérusalem, employant "la main de fer" promise par son Premier ministre en représailles à l'attentat meurtrier commis mardi par deux Palestiniens.

    Les services de sécurité israéliens ont fait sauter à l'aube l'appartement d'Abdelrahmane Shalodi à Jérusalem-Est, partie palestinienne de la ville annexée et occupée par Israël.

    Le logement du quartier populaire de Silwan, où de nouveaux heurts ont éclaté dans l'après-midi entre jeunes palestiniens et policiers israéliens, n'est plus qu'un trou béant rempli de gravats entre deux étages. Les explosifs ont soufflé les parois dont l'une s'est écrasée sur une voiture en contrebas.

    "Où allons-nous aller maintenant? Nous n'avons plus de maison", se lamente sur place Nibras, une jeune soeur.

    C'est dans ce contexte houleux que la municipalité israélienne de Jérusalem a annoncé avoir approuvé la construction de 78 nouveaux logements dans deux quartiers de colonisation à Jérusalem-Est.

    Outre les Shalodi, trois familles ont reçu une notification formelle que leur maison allait être détruite. Celle des auteurs de l'attentat de mardi à la synagogue doivent s'attendre à la même infortune. Le père d'un des deux assaillants a indiqué à l'AFP avoir été convoqué en soirée pour récupérer l'ordre de démolition de sa maison.

    C'est la première fois depuis 2009 que les forces israéliennes mènent à Jérusalem même une telle opération perçue par les Palestiniens comme une insupportable punition collective mettant à la rue des familles entières. Ces démolitions punitives ont cependant cours en Cisjordanie occupée.

    - Dissuasif ou contre-productif? -

    Au sein des forces israéliennes elles-mêmes, on apprécie diversement l'effet de ces démolitions, jugées dissuasives par certains, contre-productives par d'autres, et en tout cas susceptibles d'ajouter à des tensions déjà très vives.

    Devant une situation de plus en plus explosive, les autorités israéliennes ont voulu montrer qu'elles tiendraient l'engagement du Premier ministre Benjamin Netanyahu de réagir avec une poigne de fer à la série d'attentats récents et à celui perpétré mardi dans une synagogue de Jérusalem-Ouest.

    Deux cousins, Oudaï et Ghassan Abou Jamal, armés de hachoirs et d'un pistolet, y ont tué quatre rabbins et un policier avant d'être abattus. C'est l'attaque la plus meurtrière et la première contre un lieu de culte juif à Jérusalem depuis 2008. Elle a avivé les craintes que les violences ne prennent un redoutable tour confessionnel.

    Mercredi, des milliers de personnes ont participé dans un village druze du nord d'Israël aux funérailles du policier tué.

    Le pape François a exprimé sa "préoccupation (devant) l'augmentation alarmante de la tension à Jérusalem et dans d'autres zones de Terre Sainte, avec des épisodes inacceptables de violences qui n'épargnent même pas les lieux de culte".

    La Jordanie a joint sa voix au concert international de condamnations. Terre d'accueil d'environ deux millions de réfugiés palestiniens selon l'ONU, elle a lancé un appel à "la retenue et au calme", non sans dénoncer à nouveau les "agressions répétées" auxquelles se livrerait Israël sur l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est.

    La Jordanie est la gardienne de ce site ultra-sensible.

    L'attaque de mardi est le point d'orgue d'une série d'attentats et de plusieurs mois de violences.

    Abdelrahmane Shalodi est l'auteur de l'une de ces attaques qui font redouter un embrasement généralisé. Le 22 octobre, il a tué un bébé israélo-américain et une Equatorienne de 22 ans en fonçant avec sa voiture sur un arrêt du tramway à Jérusalem. Un acte délibéré pour la police, qui l'a aussitôt abattu, un accident pour la famille.

    - Logistique minimale -

    Abdelrahmane Shalodi incarne pour les spécialistes de la sécurité la menace de personnes agissant à titre individuel, mais capables de frapper les esprits avec une logistique minimale.

    Depuis l'été, Jérusalem a été le théâtre de plusieurs attaques meurtrières, mais aussi d'affrontements devenus quotidiens entre jeunes palestiniens et policiers israéliens.

    L'exaspération des Palestiniens devant l'occupation, l'accélération de la colonisation israélienne, les arrestations par centaines depuis l'été ou le chômage est catalysée par l'inquiétude religieuse quant au statut de l'esplanade des Mosquées, troisième lieu saint de l'islam et site le plus sacré du judaïsme. Les musulmans s'alarment de l'éventualité que l'Etat hébreu ne cède aux pressions d'une minorité d'extrémistes juifs réclamant d'y prier.


    votre commentaire
  • Israël : Nétanyahou dénonce « une vague terroriste » sur Jérusalem

    Le Monde.fr avec AFP | <time datetime="2014-11-18T20:03:25+01:00" itemprop="datePublished">18.11.2014 à 20h03</time> • Mis à jour le <time datetime="2014-11-18T21:28:16+01:00" itemprop="dateModified">18.11.2014 à 21h28</time>

    lien
     

    <figure> Benyamin Nétanyahou, premier ministre d'Israël, le 16 novembre. </figure>

    Le premier ministre d'Israël, Benyamin Nétanyahou, a une nouvelle fois prôné la fermeté contre le terrorisme, mardi 18 novembre, après que deux Palestiniens ont tué quatre fidèles dans une synagogue à Jérusalem.

    Lire : Massacre dans une synagogue à Jérusalem

    Lors d'une conférence de presse télévisée, M. Nétanyahou a redit avoir ordonné aux forces de l'ordre de « détruire les maisons des terroristes », d'intensifier les mesures punitives contre ceux qui « incitent à la haine », et de renforcer la sécurité à Jérusalem. « Nous sommes au cœur d'une vague terroriste contre Jérusalem » a-t-il déclaré.

    L'attaque perpétrée à l'aube dans une synagogue de Har Nof, un quartier ultraorthodoxe juif situé à Jérusalem-Ouest, a provoqué une onde de choc en Israël. Les deux assaillants étaient munis de couteaux, de hachoirs et d'une arme de poing. Quatre personnes qui priaient ont été tuées, et huit autres blessées. 

    « L'OCCUPATION EST LA CAUSE DES TENSIONS », SELON M. ABBAS

    Dans son discours mardi soir, Benyamin Nétanyahou a également accusé le président palestinien, Mahmoud Abbas, de ne pas en faire suffisamment. Dans la matinée, ce dernier avait sans tarder condamné l'attentat. Il avait aussi répété que « l'occupation est la cause des tensions ».

    « Le Hamas, le Mouvement islamique [israélien] et l'Autorité palestinienne continuent de propager sans fin des calomnies contre Israël », a toutefois répondu M. Nétanyahou mardi soir.

    « Sans envoyer des terroristes commettre des attentats, il [M. Abbas] laisse se poursuivre l'incitation à la violence au sein de l'Autorité palestinienne. »

    Lire aussi (édition abonnés) : En Israël, la ligne dure de Benyamin Nétanyahou est contestée

    <figure> Un attentat a eu lieu dans une mosquée de Jérusalem le 18 novembre. </figure>

    JÉRUSALEM SOUS HAUTE TENSION

    La tension est à son comble en Israël et en Cisjordanie. L'attentat de la synagogue a eu lieu au surlendemain de ce que des Palestiniens avaient dénoncé comme un « crime raciste » : celui d'un chauffeur de bus palestinien, Youssef Ramouni, retrouvé pendu dans son dépôt de Jérusalem-Ouest dimanche soir. La médecine légale israélienne a conclu à un suicide, une version contestée par un médecin légiste palestinien. 

    Lire notre éclairage (édition abonnés) : Jérusalem : depuis l’été, une escalade de violence entre communautés

    Les affrontements entre radicaux israéliens et palestiniens sont désormais quasi quotidiens. Au cours du dernier mois, cinq Israéliens et un touriste étranger ont été tués à l'arme blanche et à la voiture-bélier par des Palestiniens. Une demi-douzaine de Palestiniens ont également perdu la vie, dont les auteurs présumés de ces agressions.


    votre commentaire
  • <article> <header>

    Heurts dans un quartier de Jérusalem-Est entre policiers et Palestiniens

    <time>Publié le 15-11-2014 à 22h56Mis à jour le 16-11-2014 à 06h45</time>
    lien 
    </header>
    Des palestiniens affrontent les forces de sécurité israéliennes dans le camp de réfugiés de Shuafat à Jérusalem Est, le 7 novembre 2014
(c) Afp
    Des palestiniens affrontent les forces de sécurité israéliennes dans le camp de réfugiés de Shuafat
    à Jérusalem Est, le 7 novembre 2014 (c) Afp
    <aside class="top-outils"></aside> <aside class="inside-art"><section class="social-buttons js-share-tools"></section></aside>

    Jérusalem (AFP) - Des affrontements ont opposé samedi soir des Palestiniens à des policiers israéliens dans le quartier d'Al-Tur, à Jérusalem-Est, annexée et occupée par Israël, faisant au moins un blessé parmi les manifestants.

    "Des manifestants ont lancé des pierres et des pétards sur les forces de police qui ont utilisé des moyens anti-émeutes pour les disperser", a indiqué la porte-parole de la police Louba Samri à l'AFP.

    "Il y a apparemment un Palestinien blessé", a-t-elle ajouté.

    Les affrontements ont fait trois blessés, dont une personne ayant été touchée à la tête qui a été hospitalisée, ont quant à elles indiqué des sources palestiniennes à l'AFP.

    Des heurts entre Palestiniens et policiers israéliens ont secoué pendant des semaines Jérusalem, s'étendant à la Cisjordanie et à des villes arabes israéliennes, mais la tension était retombée ces deux derniers jours après une visite du secrétaire d'Etat américain John Kerry à Amman.

    A l'issue d'une rencontre jeudi avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le roi Abdallah II, M. Kerry avait fait état d'"engagements fermes" pour faire baisser la tension à Jérusalem, notamment dans la Vieille ville, sur l'esplanade des Mosquées.

    La grande prière du vendredi s'y est déroulée cette semaine sans incident. Pour la première fois depuis longtemps, Israël a laissé des dizaines de milliers de musulmans accéder sans restriction à l'esplanade.

    </article>
    Sur le web : Heurts entre Palestiniens et police israélienne en Cisjordanie   lien

    votre commentaire
  • <article><header>

    Israël en alerte après la mort d'un Arabe israélien abattu par la police

    <time>Publié le 09-11-2014 à 11h38Mis à jour à 19h13</time>

    lien

    </header>
    Un Palestinien montre des articles proposés à la vente pour célebrer le 10e anniversaire de la mort de Arafat, à Gaza le 8 novembre 2014(c) AfpUn Palestinien montre des articles proposés à la vente pour célebrer le 10e anniversaire de la mort de Arafat, à Gaza le 8 novembre 2014 (c) Afp
    <aside>
     
    </aside>

    Jérusalem (AFP) - Les forces de l'ordre israéliennes étaient dimanche en alerte par crainte d'une propagation des tensions aux villes arabes d'Israël après la mort d'un jeune abattu par lapolice, dans un climat de violences quasi-quotidiennes à Jérusalem-Est et en Cisjordanieoccupée.

    Les Arabes israéliens, descendants des Palestiniens restés sur leur terre lors de la création d'Israël en 1948, sont jusqu'ici restés à l'écart de la flambée des tensions. Mais ils appellent désormais à des manifestations à travers le nord d'Israël.

    La colère de ces citoyens israéliens, qui s'estiment victimes de discrimination de la part de l'Etat hébreu alors qu'ils constituent 20% de la population, a été provoquée par la mort samedi d'un jeune de Kafr Kanna, près de Nazareth. Kheir Hamdane a été abattu par la police en s'opposant à l'arrestation de l'un de ses proches.

    Une vidéo d'une caméra de surveillance montre le jeune homme s'en prenant à des policiers à bord de leur véhicule. La police affirme qu'il avait un couteau à la main. Les images montrent ensuite des policiers descendre du véhicule et Kheir Hamdane tenter de fuir. Un policier lui tire alors dans le dos à plusieurs reprises. Tombé à terre, le jeune homme de 22 ans est traîné sur le sol avant d'être embarqué à bord du véhicule de la police. Il décède sur le chemin de l'hôpital, selon la police.

    Sa famille a dénoncé un "meurtre de sang-froid", une accusation reprise par la presse palestinienne unanime dimanche matin.

    - Une 'exécution' -

    Le Centre juridique de défense des droits de la minorité arabe, Adalah, a évoqué une "exécution", récusant la version de la police sur des "tirs de sommation".

    Quant à l'enquête ouverte par le ministère de la Justice, "l'expérience des Arabes (Israéliens) prouve qu'il y a collusion entre les enquêteurs et les policiers" et que les policiers responsables de la mort d'un Arabe "ne sont jamais présentés à la justice", selon le Centre.

    Samedi, 2.500 personnes ont manifesté dans le village de la victime, tandis que des jeunes dressaient des barricades et brûlaient des pneus. Un appel à la grève générale des commerces et des écoles a été lancé dimanche.

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a pris la défense de la police et prôné la fermeté, menaçant de "révoquer la citoyenneté de ceux qui appellent à la destruction de l’État d'Israël". "Nous ne tolèrerons aucun trouble, aucune émeute", a-t-il martelé.

    Mais, lors de la réunion du gouvernement, son ministre de l'Economie, le centriste Yaïr Lapid, a dénoncé une attitude "irresponsable". "Un homme a été tué, la police est dans l'embarras, la communauté arabe est en situation de détresse, des ministres et des députés utilisent cette situation pour des raisons politiciennes", a-t-il regretté.

     

    - L'UE pour un Etat palestinien -

    Ces tensions s'ajoutent à celles qui secouent depuis plus de deux semaines la Cisjordanie occupée et Jérusalem-Est, la partie palestinienne annexée et occupée par Israël.

    Durant la nuit, de nouveaux affrontements ont opposé des jeunes Palestiniens aux policiers israéliens, qui ont répliqué à coups de gaz lacrymogènes, grenades assourdissantes et balles en caoutchouc.

    Si les raisons de la colère sont multiples -- chômage, brimades, colonisation, etc. -- les Palestiniens estiment qu'une "ligne rouge" a été franchie depuis que des extrémistes juifs ont renforcé leur campagne pour réclamer le droit de prier sur l'esplanade des Mosquées, lieu saint musulman également vénéré par les juifs.

    Le ministre israélien de la Défense, Moshe Yaalon, a une nouvelle fois assuré samedi qu'il n'était "pas question d'envisager que des juifs aillent (y) prier".

    Dans ce contexte houleux, la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini a achevé samedi soir une tournée à Jérusalem, Gaza et Ramallah. Elle a plaidé pour une reprise des discussions de paix afin d'ouvrir la voie à un Etat palestinien avec Jérusalem-Est pour capitale. Elle a de nouveau dénoncé la colonisation israélienne.

    Les Palestiniens ont annoncé qu'ils mettraient lundi la dernière touche à leur projet de résolution demandant à l'ONU de fixer un calendrier pour la fin de l'occupation israélienne. Ils entendre soumettre ce texte courant novembre au Conseil de sécurité. Mais il pourrait être tué dans l’œuf par un veto américain.

    </article>

    Sur le web : Le nord de l’Etat hébreu s’embrase après la mort d’un arabe israélien abattu par la police
     
     
     
     
     

     

    <aside class="top-outils" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; list-style: none; box-sizing: border-box; font-family: Georgia, serif; font-size: 16px;"></aside>


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique