• <section class="grid-620 d-inline" id="content-list-top" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 12px; vertical-align: top; display: inline-block; zoom: 1; width: 620px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Georgia; line-height: 12px; background-color: rgb(255, 255, 255);">

    EN DIRECT. Cannes 2014 : pas de Palme d'or pour Xavier Dolan !

    Edité par 
    le 24 mai 2014 à 18h55 , mis à jour le 24 mai 2014 à 19h51.
    TEMPS DE LECTURE
    4min
    <section id="articleFigure166889" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; vertical-align: baseline;">
    </section>
    <section class="social-horizontal" id="player-social-bar171916" style="margin: 0px; padding: 14px 0px 11px 10px; border: 1px solid rgb(238, 238, 238); vertical-align: baseline; position: relative; min-height: 25px; background: rgb(248, 248, 248);">

    Partager l'article

    </section> </section><section class="grid-620" id="content-list-right" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-size: 12px; vertical-align: baseline; width: 620px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Georgia; line-height: 12px; min-height: 22px; background-color: rgb(255, 255, 255);">


    NEWS CINÉ-SÉRIES

    Suivez en direct la cérémonie de clôture du 67e Festival de Cannes et découvrez qui remportera la Palme d'or, succédant ainsi à "La vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche. Pas Xavier Dolan, hélas, pourtant plébiscité par la presse.

    19h47 : Palme d'or pour "Winter sleep" de Nuri Bilge Ceylan. 

    19h44 : Grand prix pour "Les merveilles" de Alice Rohrwacher

    19h38 : Prix de la mise en scène pour Bennett Miller, réalisateur du puissant "Foxcatcher".

    19h35 : Jean-Luc Godard n'est pas présent pour prendre son prix sur scène.

    19h34 : Xavier Dolan rend hommage à Jane Campion et parle de son choc en découvrant "La leçon de piano". 

    19h33 : Xavier Dolan, très ému. Ses actrices (Anne Dorval, Suzanne Clément) aussi.

    19h29. Prix du jury ex-aequo "Mommy" de Xavier Dolan et "Adieu au langage" de Jean-Luc Godard. Le plus jeune réalisateur et le plus vieux réalisateur de la compétition. Une petite déception car Dolan était favori pour la Palme d'or.

    19h26. Prix du scénario au subversif "Leviathan" de Andrey Zviaguintsev. Portrait brutal d'une Russe dominée par la corruption.   

     

    19h22 : Prix d'interprétation féminine remis à Julianne Moore, hélas absente, pour son rôle époustouflant dans le non moins époustouflant "Maps to the stars" de David Cronenberg. Elle y ose des choses qu'aucune autre actrice Hollywoodienne accepterait. 

    19h20 : Timothy Spall remercie Mike Leigh, sa femme et Dieu d'être toujours en vie.

    19h15 : Timothy Spall remporte le prix d'interprétation masculine pour son interprétation dans "Mr Turner" de Mike Leigh.

    19h13 : Gilles Jacob donne un bouquet de fleurs à Jane Campion, présidente du jury et part sous les applaudissements. C'est la dernière fois qu'il accomplit sa mission de président du Festival de Cannes. Il sera remplacé l'année prochaine par Pierre Lescure.

    19h12 :  Samuel Theis rend hommage à sa mère (Angélique), héroïne de "Party Girl", entre documentaire et fiction.

    19h10 : La section Un certain regard du Festival de Cannes s'est ouvert cette année avec un film français : "Party Girl", de Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis. Une caméra d'or récompense justement ce premier film, généreux et sincère, audacieux et impoli.

    19h07 : Gilles Jacob apparaît avec Nicole Garcia, présidente de la Caméra d'or. "Party Girl", présenté dans la section "Un Certain Regard" en ouverture remporte le prix. 

    Le palmarès du 67e Festival de Cannes est révélé ce samedi soir.

    Certains journalistes ont révélé sur Twitter le retour de certaines stars comme Julianne Moore, si bluffante dans "Maps to the stars". Elle pourrait décrocher un prix d'interprétation féminine.

    </section>

    votre commentaire
  • Cannes 2014 : Xavier Dolan bien placé pour décrocher la palme

     

    ALAIN GRASSET | Publié le 23.05.2014, 17h48 | Mise à jour : 24.05.2014, 00h27

    «Mommy», un superbe drame familial, un électrochoc dont raffole les festivaliers, autorise vraiment Xavier Dolan, 25 ans, à nourrir de grands espoirs pour le palmarès qui sera rendu samedi soir par le jury de Cannes.

    «Mommy», un superbe drame familial, un électrochoc dont raffole les festivaliers, autorise vraiment Xavier Dolan, 25 ans, à nourrir de grands espoirs pour le palmarès qui sera rendu samedi soir par le jury de Cannes. | (LE PARISIEN/ FRED DUGIT)

    Zoom

    Réagir

    Agrandir le texte Diminuer le texte Imprimer l'article Tout leParisien.fr sur votre mobile

    Plus de 10 minutes d'applaudissements ont salué, jeudi soir, la fin de la projection de «Mommy», le  du réalisateur québécois Xavier Dolan en compétition officielle. La veille, en séance de presse, les journalistes du monde entier avaient dans leur majorité favorablement accueilli ce cinquième long métrage du jeune Montréalais.<btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px;"> </btn_noimpr>Les critiques élogieuses sur «Mommy», un superbe drame familial, un électrochoc dont ont raffolé les festivaliers, autorisent vraiment Xavier Dolan, 25 ans, à nourrir de grands espoirs pour le palmarès qui sera rendu samedi soir par le jury présidé par la réalisatrice Jane Campion. 

    Vendredi, le buzz autour du film était tout aussi énorme. «The Talk of the Croisette» comme disent les journalistes américains nombreux ici et qui sont encore sous le choc deux jours après l'avoir découvert dans la salle Debussy. On ne voit pas comment, quoiqu'il arrive samedi soir, «Mommy» ne serait pas très haut placé dans le palmarès de ce 67e Festival. Et s'il remportait la Palme d'or, Dolan serait le deuxième plus jeune réalisateur à recevoir cette distinction après Louis Malle, récompensé en 1956, à 23 ans avec Jean-Jacques Cousteau pour le  «Le Monde du silence».

    L'amour mis à l'épreuve

    Cannes et Xavier Dolan, c'est une presque vieille histoire. En 2009, il débarquait sur La Croisette avec «J'ai tué ma mère» qui avait obtenu trois prix à la Quinzaine des réalisateurs, et qui abordait déjà le thème du rapport fils/mère. A-t-il le sentiment de récidiver ? «"J'ai tué ma mère" était mon film le plus personnel, c'est ma vie, mon histoire, Mommy non. Ici, on parle de gens qui s'aiment profondément mais dont l'amour est mis à l'épreuve par la vie elle-même, par la maladie et par le système qui les ostracise», souligne-t-il. 

    L'histoire de «Mommy»? Veuve depuis trois ans, Diane (Anne , qui jouait dans «J'ai tué ma mère», «Les amours imaginaires») a des mèches, s'habille très moulant ou très court, parle comme un charretier et adore son fils Steve (Antoine Olivier Pilon), un adolescent blond bipolaire, impulsif et violent. Elle hérite de sa garde après son expulsion d'un centre correctionnel où il a déclenché un incendie qui a grièvement blessé une autre pensionnaire. La directrice fait alors miroiter à Diane un avenir sombre pour son fils, capable de passer sans crier gare du rire enfantin à la colère démoniaque : «C'est pas parce qu'on aime quelqu'un qu'on peut le sauver», explique Diane, mère courage bien décidée à mener cette bataille pour un fils qui l'aime aussi passionnément. Une mystérieuse voisine bègue et introvertie lui vient en aide : Kyla, l'autre égérie de Dolan Suzanne Clément, déjà présente dans«Laurence Anyways». Avec elle, Diane et son garçon finissent par former un heureux trio qui leur permet, un temps, de retrouver l'espoir... 

    «C'est mon meilleur film»

    L'auteur de «Laurence Anyways» et de «Tom à la ferme» (toujours à l'affiche) réussit totalement son film. Il est à la fois émouvant, drôle et très coloré. Sans compter une bande son avec Dido, Oasis, Céline Dion, Counting Crows. Dolan maîtrise sa réalisation avec un format 1:1, qui place sur l'écran le film dans un carré parfait pour souligner l'enfermement des personnages. Il avait déjà fait cette expérience avec le clip du groupe Indochine, «College Boy». Ce format façon Instagram «met le personnage au centre du regard du spectateur, les distractions horizontales sont coupées», indique le cinéaste. 

    Enfin, même ceux qui n'étaient pas trop amateurs des précédents films de Xavier Dolan reconnaissent que «Mommy» fonctionne de manière beaucoup plus limpide et que c'est de loin son film le plus accessible pour le grand public. Le réalisateur ne dit pas autre chose. «C'est mon meilleur film». Verdict cannois ce samedi soir.


    VIDEO. Tapis rouge pour le jeune Dolan et «Mommy»


    VIDEO. Le jeune cinéaste canadien Xavier Dolan revient sur la croisette

    <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr><btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr>

    LeParisien.fr


    votre commentaire
  • <article><header>

    Abel Ferrara : "Où est l'antisémitisme dans 'Welcome to New York' ?"

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-05-18T16:40" itemprop="datePublished" pubdate="">18/05/2014 à 16:40</time> - Modifié le <time datetime="2014-05-18T20:02" itemprop="dateModified">18/05/2014 à 20:02</time>

    Attaqué par Anne Sinclair, protagoniste implicite de "Welcome to New York", Abel Ferrara réplique.

    lien

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">Abel Ferrara.<figcaption>Abel Ferrara. © Kenzo Tribouillard / AFP</figcaption></figure>
     
     
    7
     
    30
    Par  (À CANNES)
    </header>

    Il ne manquait plus que ça. Déjà enrobé d'un parfum sulfureux tant par son sujet-choc que par la campagne de marketing qui l'a accompagné, Welcome to New York fait désormais aussi face à des accusations d'antisémitisme. Après avoir visionné le film, Anne Sinclair a ainsi, dans une tribune dans le Huffington Post, dénoncé le caractère "clairement antisémite" de l'oeuvre, tandis que de nombreux critiques ont souligné la façon "douteuse", voire "nauséabonde", dont le film présente l'ancienne épouse deDominique Strauss-Kahn

    "Simone", alter ego fictionnel d'Anne Sinclair, est décrite, dès le premier plan dans lequel elle apparaît, comme une généreuse donatrice "de l'État d'Israël" et se verra ensuite reprocher par son mari son obsession pour l'argent et le pouvoir, tout comme l'origine de la fortune de sa famille qui serait liée à la Seconde Guerre mondiale... Interrogé en début d'après-midi par Le Point, le réalisateur Abel Ferrara a d'abord botté en touche, avant de se défendre.  

    "Où est l'antisémitisme dans ce film ? Elle donne de l'argent à Israël. C'est un fait, mais supporter son pays, c'est génial, non ? Ce n'est pas antisémite." Le scénariste Chris Zois, collaborateur de longue date de Ferrara, a lui aussi rejeté ces accusations. "Ceux qui nous font ce reproche d'être antisémite le sont eux-mêmes, parce c'est eux qui font le lien entre la judaïté de Simone et le fait qu'elle a beaucoup d'argent. Ce n'était pas dans notre esprit. C'est une femme qui supporte un pays qui a longtemps été menacé. Dans le film, on la présente comme quelqu'un qui veut faire le bien, une généreuse donatrice qui aide le monde. Elle n'a pas renoncé à ses idéaux, contrairement à son mari qui s'est réfugié dans le sexe."

     

    Consultez notre dossier : Festival de Cannes 2014       VIDEO  

     

     "Où est l'antisémitisme dans ce film ? Elle donne de l'argent à Israël. C'est un fait, mais supporter son pays, c'est génial, non ? Ce n'est pas antisémite." Le scénariste Chris Zois, collaborateur de longue date de Ferrara, a lui aussi rejeté ces accusations. "Ceux qui nous font ce reproche d'être antisémite le sont eux-mêmes, parce c'est eux qui font le lien entre la judaïté de Simone et le fait qu'elle a beaucoup d'argent. Ce n'était pas dans notre esprit. C'est une femme qui supporte un pays qui a longtemps été menacé. Dans le film, on la présente comme quelqu'un qui veut faire le bien, une généreuse donatrice qui aide le monde. Elle n'a pas renoncé à ses idéaux, contrairement à son mari qui s'est réfugié dans le sexe."

    Consultez notre dossier : Festival de Cannes 2014

     
    <section class="util_article bottom" style="margin: 0px; padding: 10px 0px; vertical-align: top;">
     
    30
     
    7
     
    </section></article>

    votre commentaire
  • <article><header>

    "Grace de Monaco" : le nanar princier de Cannes

    Le Point.fr - Publié le <time datetime="2014-05-14T20:09" itemprop="datePublished" pubdate="">14/05/2014 à 20:09</time> - Modifié le <time datetime="2014-05-14T21:08" itemprop="dateModified">14/05/2014 à 21:08   </time>lien 

    Le biopic d'Olivier Dahan consacré à l'actrice devenue princesse fait l'ouverture du festival ce mercredi. Mais tombe à plat malgré ses atouts.

    lien

    <figure itemprop="associatedMedia" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">"Grace de Monaco" fait l'ouverture du Festival de Cannes 2014<figcaption>"Grace de Monaco" fait l'ouverture du Festival de Cannes 2014 © TWC</figcaption></figure>
     
     
    28
     
    19
     
    2
    </header>

    Il y a des films qu'on voudrait pouvoir aimer, parce qu'il semblerait injuste de ne pas le faire. Grace de Monaco a tout pour plaire : une star, Nicole Kidman, aussi réputée pour son glamour - comment oublier Moulin Rouge - que pour son talent, un réalisateur, Olivier Dahan, qui a conquis le monde avec sa Môme et un sujet en or hollywoodien. Ajoutez à ces ingrédients magiques le récit d'une production chaotique et une polémique chez les princes du Rocher et vous obtenez le film parfait pour l'ouverture du plus prestigieux des festivals. Sauf que non. On a beau vouloir le saluer avec les honneurs dus à son rang, ce biopic scintillant éblouit en fin de compte surtout par sa vacuité. 

    Est-ce parce qu'il s'agit d'une histoire de princesse que le cinéaste a réduit son scénario à un conte pour enfants ? Actrice en plein succès, Grace Kelly a renoncé par amour à sa carrière sur grand écran pour épouser le prince Rainier de Monaco. Mais le cinéma lui manque et le protocole pesant du palais l'étouffe. Américaine mal à l'aise dans cette vieille cour européenne, la jeune femme fait figure de petite écervelée dont les dérapages irresponsables (elle veut tourner dans un film de Hitchcock !) manquent de précipiter le pays dans une guerre avec la France. 

    Après une crise existentielle illustrée par quelques larmes filmées en gros plan (dont Dahan use et abuse), Grace se prend en main et, avec l'aide d'un guide bienveillant, apprend à se comporter en altesse. Cours de français, cours de maintien, cours d'expressions faciales, etc. Et soudain, le monde découvre une autre Grace. Qui va tout bonnement sauver Monaco. Bref, Princesse malgré elle de Disney, l'humour en moins. 

    Plaisanterie

    Ce n'est pas que ce soit foncièrement mauvais. Nicole Kidman joue impeccablement sa partition, avec une passion que l'on devine sincère, et le film se déroule sans réelle anicroche, sans scène épouvantable à proprement parler. On se laisse porter sans effort, presque sans bâillement. Et c'est bien le problème : dans Grace de Monaco, tout flotte. Aucun feu, aucune aspérité, rien, finalement, qui justifie toute cette "polémique". Oui, la réalité historique n'est pas respectée, mais cela, on pouvait le pardonner au septième art. La vraie faute de ce long-métrage n'est pas d'avoir fait venir Charles de Gaulle à un gala de charité monégasque (alors qu'il n'a en fait jamais mis les pieds dans la principauté), c'est de ne pas savoir justifier la nécessité de cette invention.

    Trop timide pour embrasser totalement son caractère romanesque, trop pompeux pour être pris au sérieux, Grace de Monaco finit, faute de trouver le ton juste, par ressembler à une vaste plaisanterie, à l'image de cette suggestion de Grace à son mari alors que la famille Grimaldi est au bord de la faillite : "On achètera une ferme à Montpellier." Bah, voyons ! 

    </article>

    votre commentaire
  • Cannes 2014 : c'est parti pour 10 jours

    de fête du cinéma

     

    Ronan Tésorière et Alain Grasset | Publié le 14.05.2014, 15h07 | Mise à jour : 20h16  lien 

     Nicole Kidman salue la foule sur les marches du Palais des festivals. L'interprète de Â«Grace de  Monaco» était la star de cette soirée d'ouverture. 

     Nicole Kidman salue la foule sur les marches du Palais des festivals. L'interprète de «Grace de  Monaco» était la star de cette soirée d'ouverture.  | LP/ FREDERIC DUGIT

    Zoom1/7
    La Croisette a accueilli, ce mercredi,  toutes les stars qui fouleront chaque jour le fameux tapis rouge et monteront les 24 marches menant à la grande salle de projection du Palais des festivals. Le soleil radieux et les inévitables polémiques sont déjà au rendez-vous de ce 67e . <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px;"> </btn_noimpr>

    En ouverture, le très attendu, mais déjà contesté, «Grace de Monaco» et son interprète, la sculpturale , ont assuré une montée des marches glamour. Au rang des stars,, Julianne Moore, Kirsten Stewart, Hillary Swank, Ryan Gosling, Tommy Lee Jones, Catherine Deneuve, Guillaume Canet ou Marion Cotillard sont attendus d'ici au 25 mai.

    >> Revivez la montée des marches et la cérémonie d'ouverture. 

    19h53. Retrouvez ici en images les Belles de Cannes, tout au long de ce 67e festival de Cannes. 

    19h49. Lambert Wilson souhaite un bon anniversaire à Tim Roth et Sofia Coppola. Rendez-vous dans dix jours pour la cérémonie de clôture.
     
    19h46. «C'est un honneur de déclarer ouverte la 6è édition du Festival de Cannes.» C'est le cinéaste mexicain Alfonso Cuaron, auteur du thriller spatial et carton mondial 2013, «Gravity» (Oscar du meilleur réalisateur), et l'actrice française Chiara Mastroianni, qui ouvrent cette 67e édition. L'actrice s'est dite «très touchée» que le festival ait choisi son père Marcello pour illustrer l'affiche du Festival.

    19h44. Jane Campion présente les films en compétition. Parmi les films de la sélection française figure «The Search» de Michel Hazanavicius, le réalisateur de «The Artist». On retrouve dans ce film Bérénice Bejo, dans le rôle d'une membre d'une ONG recueillant un enfant tchétchène pendant la guerre avec la Russie, et l'actrice américaine Annette Bening («A propos d'Henry», «American Beauty») et épouse à la ville de Warren Beatty.

    Autre film français en compétition, «Saint Laurent» de Bertrand Bonello avec Gaspard Ulliel dans le rôle du célèbre couturier. Dans ce nouveau biopic sur YSL, Jérémie Renier interprète Pierre Bergé, mécène et compagnon de Saint Laurent et Lea Seydoux est Loulou de la Falaise. 

    Olivier Assayas défendra lui aussi les couleurs de la France avec «Sils Maria», avec Juliette Binoche, Kristen Stewart, la vampire de «Twilight» et la jeune comédienne américaine Chloé Moretz. 

    Le cinéaste franco-suisse Jean-Luc Godard fait lui son retour en compétition officielle avec son nouveau film «Adieu au langage».

    VIDEO. Cannes : 18 films en compétition, dont Godard



    Egalement retenus, «Mr Turner», du Britannique Mike Leigh, et «Sommeil d'hiver», de Nuri Bilge Ceylan (Turquie), deux cinéastes déjà primés à Cannes, ainsi que «The Captive», du Canadien Atom Egoyan, et «Mommy», de son compatriote Xavier Dolan.

    Les Etats-Unis sont représentés par «Foxcatcher», de Bennett Miller, et «The Homesman», de Tommy Lee Jones, le Japon par Naomi Kawase («Deux fenêtres»), la Russie par «Leviafan», d'Andrei Zvyagintsev, la Mauritanie par «Le Chagrin des oiseaux», d'Abderrahmane Sissako, et l'Argentine par «Relatos Salvajes», de l'Argentin Damián Szifron. Reste encore l'Italienne Alice Rohrwacher avec «La Merveille».

    19h36. Jane Campion en tant que présidente du jury ouvre également les festivités : «J'aime ce festival, ça fait 28 ans que je viens. Cannes ose et choisit des films dans le monde entier. Cannes fête tout le cinéma. Cannes apprécie ceux qui osent et parfois même les réalisatrices !» déclare-t-elle. 

    19h29. Une compilation des films de Jane Campion, présidente du jury, est diffusée. 

    VIDEO. Les films de Jane Campion


    19h26. Le jury est invité sur scène par le maître de cérémonie. Michael Nyman, compositeur favori de Jane Campion, joue le thème de la «Leçon de Piano». 



    19h21. Lambert Wilson rend hommage à Alain Resnais. 

    VIDEO. Alain Resnais en 5 minutes. 



    19h15. Lambert Wilson lance la cérémonie d'ouverture. « Quel bonheur et quelle émotion d'être ici ce soir devant une assistance aussi prestigieuse. Quel incroyable effet miroir alors que j'aurais pu être assis dans la salle. Vous êtes mon cinéma ! »

    Avant la cérémonie proprement dite, la ministre de la Culture Aurélie Filippetti a assuré que «le cinéma français rayonne partout dans le monde». «Aujourd'hui, il y a une nouvelle vague», a assuré la ministre, accompagnée du futur président du festival Pierre Lescure.

    19h13. Chiara Mastroianni, dont le père illustre l'affiche du 67e Festival, et Laetitia Casta sont passées par le tapis rouge. 
    View image on Twitter





    View image on Twitter



    19h12. Depardieu et Sepp Blatter, le patron de la FIFA, monteront les marches dimanche soir. Gérard Depardieu, qui sera samedi soir, à Cannes, pour la projection au marché du film de «Welcome to New York», le film d'Abel Ferrara, inspiré de l'affaire DSK (et qui sera mis en ligne en VOD dès minuit), a un autre long métrage au Festival auquel il tient beaucoup. Il s'agit de «United Passion» de Frédéric Auburtin dans lequel il incarne Jules Rimet, l'homme qui contribua à la création de la Coupe du monde de football. Avant la projection de ce film dimanche soir à 21 h 30, dans lequel il partage la vedette avec Tim Roth et Sam Neill, sur la plage de l'Hôtel Majestic, Depardieu montera les marches dans la soirée pour l'avant-première de «The Homesman» de Tommy Lee Jones ( en compétition officielle). Pour l'occasion, il sera accompagné de Sepp Blatter, le patron de la Fédération internationale de football (FIFA), qui est incarné dans «United Passion» par l'acteur britannique Tim Roth. Ce film dont la sortie est prévue juste avant la Coupe du Monde au Brésil, a été récemment projeté en Suisse aux membres de la FIFA.

    19H05. L'équipe du film «Grace de Monaco» est à son tour sur le tapis rouge. Le film est présenté en ouverture ce soir. A peine sorti en salles, l'oeuvre d'Olivier Dahan est le sujet d'une grosse polémique. 

    Nicole Kidman sur le tapis rouge
    View image on Twitter



    19h03. Blake Lively est sur le tapis rouge et fait rougir de plaisir les photographes. 
    View image on Twitter



    18h55. Le bon petit dîner du jury. Gilles Jacob, le président, et Thierry Frémaux, le délégué général, avaient réuni pour la première fois, mardi soir au Martinez, le jury 2014 au grand complet, sous la présidence de la réalisatrice néo-zélandaise Jane Campion. Au menu, réalisé par le chef Christian Sinicropi (deux macarons au Michelin), asperge violette de Grasse, langoustine croustillante aux zestes de citron et de cédrat du Cap Corse, carré d'agneau de lait et mangue. Avec modération comme il se doit, la cuvée Saint-Pierre 2011 des moines de l'Abbaye de Lérins, mais aussi un Zinfandel 2011, le vin élevé par Francis Ford Coppola, avant le Sangue d'Oro, le liquoreux sicilien offert par la jurée Carole Bouquet.

    18h47. Le Jury est en piste sur le tapis rouge. Jane Campion et ses jurés montent les marches. 



    18h45. Adèle Exarchopoulos, l'héroïne de «la Vie d'Adèle» et prix d'interprétation à Cannes, est passée sur le tapis rouge. 
    View image on Twitter



    18H40. On a déjà aperçu les magnifiques Laetitia Casta et Blake Lively, pas très loin du Palais des festivals. 
    View image on Twitter

    Blake Lively at the cocktail of @lorealparisfr in .




    View image on Twitter

    Die wunderschöne Laetitia Casta in




    18H30. C'est Lambert Wilson qui sera à la baguette, il succède à sa consœur Audrey Tautou comme maître de cérémonie. «Ce que j'ai envie d'éviter, c'est d'être un maître de cérémonie écrasé par l'émotion», a-t-il expliqué. Pour la forme, la sobriété sera de mise. Pas de talons aiguilles cette fois, comme ce fut le cas à la cérémonie des Césars 2013. «Cannes, ce n’est ni les Césars ni les Oscars. Malgré ses paillettes, le festival n’est pas le lieu du show ou de la performance. Il célèbre la part profonde, poétique, politique des films. Je serai là pour parler de cinéma et introduire le jury, pas pour faire des claquettes», a-t-il confié au Parisien Magazine. Devant la caméra du Parisien.fr, il s'est prêté au jeu des interviews, regrettant le peu de femmes réalisatrices retenues dans la sélection officielle. Mais il a salué la présence de Jane Campion, en tant que présidente du jury. 

    View image on Twitter

    Photocall avec le très chic ! // Photocall with the elegant Lambert Wilson!




    VIDEO. Cannes : Lambert Wilson «regrette qu'il y ait si peu de femmes dans la sélection»



    18h. Avant la traditionnelle montée des marches Jane Campion a pris la pose aux côtés des hommes et des femmes du jury du Festival de Cannes 2014. Jury composé de la réalisatrice américaine Sofia Coppola, l'actrice française Carole Bouquet et l'acteur et cinéaste mexicain Gael Garcia Bernal , de l'acteur américain William Dafoe, du cinéaste chinois Jia Zhangke, de l'actrice iranienne Leila Hatami, de l'actrice sud-coréenne Jeon Do-yeon et du réalisateur danois Nicolas Winding Refn.

    View image on Twitter

    Photocall & les hommes du Jury // Jane Campion and the men of the Feature Films Jury




    View image on Twitter

    Photocall & les femmes du Jury // Jane Campion and the women of the Feature Films Jury




    VIDEO. En direct de Cannes : polémique autour de «Grace de Monaco
    »


    VIDEO. A la Une. «Cannes, le grand jour»



     

    <btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr><btn_noimpr style="margin: 0px; padding: 0px; font-family: tahoma, arial; font-size: 15px; background-color: rgb(255, 255, 255);"></btn_noimpr>

    LeParisien.fr


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique